Comme l’année se termine doucement, nous organisons d’abord les derniers ateliers. A leur demande, nous prendrons pour chaque séance un temps de travail sur cette scène, qui sera présentée à la Fête des ateliers en juin, et un autre temps d’improvisation pure.

Johan prend en charge l’échauffement, une douche et un jeu avec des mots associés en rythme.
Puis les improvisations :
Une personne en scène : une action, une émotion. Une deuxième entre : émotion inverse. Interactions. Lorsqu’on choisit la colère, ou un autre sentiment “négatif”, difficile de le garder, de rester concentré, surtout en étant en contact avec le public (qui rit sans retenue !).
En tout cas, ils/elles montrent encore leurs talents, richesses cachés !

Encore deux improvisations, tous en scène. Où une table se transforme en machine à pain, duquel sort un liquide vert, dont les canards sont friands, mais qui entraîne la mort de certains, ou qui laisse apparaître un rouage caché de la machine : un pis qui donne du bon lait, pour un petit déjeuner complet !!
Voilà, maintenant, retour à la scène des randonneurs. Les personnages sont bien installés, bien vivants, bien drôles. Il s’agit alors de bien prendre le temps,de faire naître et d’entretenir son monologue intérieur, qui nourrit et fait vivre encore plus ces charmants caractères.